Résumé :
Je ne crois pas que Plisnier ait jamais écrit oeuvre plus puissante. Le voilà le vrai chef-d'oeuvre ". Pierre LOISELET. " Les héros de Plisnier nous hantent comme des personnages de Dostoïevsky. C'est le privilège des grandes oeuvres et Meur
tres, à coup sûr, en est une ". J. P. MAXENCE. Après avoir traité dans Mort d'Isabelle, avec une maîtrise pleine de vigueur, le bouleversant problème de l'euthanasie, Plisnier s'attaque ici à un sujet plus brûlant encore. Mais Noël Annequin, le bouleversant héros de Meurtres, après avoir touché aux frontières de l'enfer, accède au salut en des pages réellement poignantes. A ses côtés, Martine, " victorieuse et blessée ", imposera elle aussi sa présence obsédante au souvenir du lecteur. Tout comme La Mort d'Isabelle (Marabout n° 95) qui ouvre le cycle de Meurtres, Dieu le prit qui le termine, a été conçu pour former un tout indépendant et pouvoir être lu séparément.
Source : Marabout