Résumé :
Octave Mirbeau aboutit souvent à la mort... On en sent la présence rôdeuse et terrifiante, partout dans son oeuvre. Il y souffle comme le vent du bord des abîmes.
C'est l'arrière-goût d'amertume de tous les fruits cueillis, la frénésie des fins de fête, un bruit de départs incessants. Vie instable ! Destinées éphémères ! Fantômes avant-coureurs et pires que la mort !Il y a des pages que baigne une sueur monte. On éprouve une terreur d'on ne sait quoi. Georges Rodenbach
Source : 10-18