Résumé :
— Et le tableau de Barocci-?
- Le Barocci ?
— Oui, celui que vous avez vendu à une galerie de la rue Jacob.
- Ah ? oui. Faux aussi naturellement.
— Quels sont vos moyens d'existence ? Enfin.,. légaux. Evidemment.
— Mon mari m'a laissé une petite rente.
Elle a un petit rire d'une désinvolture charmante et ajoute sur le ton do la confidence :
- Lui aussi était un faux comte — Naturelle-ment. Il s'appelait Terralotti. C'est tout. Chez nous, en Italie, ces petits « menzogne » ne tirent pas à conséquence...
Seulement ces petits mensonges-là conduiront quatre personnes à la morgue et Maria Malfatti sera obligé d'abandonner son atelier de dorure pour se lancer à la poursuite de l'assassin, un demi-fou particulièrement retors.
Source : Librairie des Champs-Elysées
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