Résumé :
" Pour écrire L'Orgie, comme son Vin de la jeunesse, Fante a pressé, furiosissimo, Les Raisins de la colère.
De la vendange, le père Steinbeck tirait une morale ; malgré l'adversité, Fante en rapporte d'abord une extraordinaire énergie. Du désespoir ? " Michel Grisolia, L'Express. " Ouvrez au hasard une page de John Fante. On reconnaît aussitôt son inimitable solo de clarinette. On a envie de rire et de pleurer. A chaque ligne crépitent le désespoir, l'humour et la nostalgie. " Frédéric Ferney, Globe.
Source : 10-18