Résumé :
Conseiller du comte Cini, comme du milliardaire J.-P. Getty, familier de la noblesse romaine et des historiens les plus fameux de notre époque, traversant la bonne société londonienne comme celle, plus mêlée, d'Hollywood, Zeri évoque en une myriade d'anecdotes les rites et folies d'un monde aujourd'hui disparu, aux figures fascinantes. Trop sceptique ou caustique, pour croire à la possibilité d'une autobiogra-phie, il livre pour la première fois le récit fragmentaire d'une expérience, raconte la passion que lui inspirèrent quelques rencontres, les humeurs que soulevèrent en lui certains épisodes oubliés de l'histoire de l'art de ce siè-cle. Se serait-il trompé, comme il le prétend, en se consacrant à une approche trop exclusive de la peinture, que cette erreur nous aurait valu l'une des oeuvres les plus remarqua-bles et les plus tranchantes de notre époque.
Ces "Fragments d'une autobio-graphie" ont été établis avec l'aide de Patrick Mauriès, qui, comme l'écrit Federico Zeri, a su faire le tri et mettre en ordre" ce qui lui passait par la tête.
Source : 10-18
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